Je vous écris à l’ombre du mystère
Puisque s’écrire est se parler tout bas;
Mais je l’avoue, en ce lieu solitaire,
Tout est tranquille et mon cœur ne l’est pas.
Je vous écris.
Je vous écris.
Je vous écris. Quand l’âme est oppressée,
Le temps s’arrête et n’a plus d’avenir.
Ah ! loin de vous, je n’ai qu’une pensée
Et le bonheur n’est plus qu’un souvenir.
Je vous écris.
Je vous écris.
Je vous écris.
Je vous écris… M’aimeriez-vous encore ?
Si votre cœur n’est plus tel qu’autrefois,
Faites du moins, faites que je l’ignore;
S’il est constant, dites-le, je le crois.
Je vous écris
Je vous écris
Je vous écris
Je vous écris à l’ombre du mystère
Puisque s’écrire est se parler tout bas;
Je vous écris.
Puisque s’écrire est se parler tout bas;
Mais je l’avoue, en ce lieu solitaire,
Tout est tranquille et mon cœur ne l’est pas.
Je vous écris.
Je vous écris.
Je vous écris. Quand l’âme est oppressée,
Le temps s’arrête et n’a plus d’avenir.
Ah ! loin de vous, je n’ai qu’une pensée
Et le bonheur n’est plus qu’un souvenir.
Je vous écris.
Je vous écris.
Je vous écris.
Je vous écris… M’aimeriez-vous encore ?
Si votre cœur n’est plus tel qu’autrefois,
Faites du moins, faites que je l’ignore;
S’il est constant, dites-le, je le crois.
Je vous écris
Je vous écris
Je vous écris
Je vous écris à l’ombre du mystère
Puisque s’écrire est se parler tout bas;
Je vous écris.