Je ne sais pas où je vais ni vers quoi je vais
Mais j'avance tout droit, toujours tout droit
Et je reprends mon souffle mais je continue la course
Sans écouter ces voix qui veulent me retenir
Je n'arrêterai que devant l'océan
Devant l'océan infini
Cent fois plus grand que moi, cent fois plus grand que nous
Rien n'est plus réel que les reflets du sel
Argentés de perles qui brillent еt ruissellent sur ma peau
Jе sens, sens comme elle est belle
Là-bas la vie qui m'appelle et ouvre ses bras
Devant le vide et le ciel dans mon dos s'ouvrent mes ailes et je compte jusqu'à trois
Saute...
Saute...
Saute...
Saute...
Oh, moi quand je me perds, oui moi quand je me mens
Quand je ne suis plus sûre de comprendre mon propre cœur
Je vais me chercher ailleurs, la chute n'est que meilleure
Quand on prend goût à l'inconnu
Oui, j'ai choisi le bleu
Le bleu du ciel ou de l'océan
Quitte à errer à l'infini
Cent ans de solitude sans plus de certitude
Rien n'est plus réel, que faire danser mes ailes
De plus ou de perles qui brillent et ruissellent dans les aubes
Je sens, sens comme elle est belle
Là-bas la vie qui m'appelle et ouvre ses bras
Devant le vide et le ciel dans mon dos s'ouvrent mes ailes et je compte jusqu'à trois
Saute...
Saute...
Saute...
Saute...
Je sens, sens comme elle est belle
Là-bas la vie qui m'appelle et ouvre ses bras
Devant le vide et le ciel dans mon dos s'ouvrent mes ailes et je compte jusqu'à trois
Saute...
Saute...
Saute...
Saute...
Saute
Mais j'avance tout droit, toujours tout droit
Et je reprends mon souffle mais je continue la course
Sans écouter ces voix qui veulent me retenir
Je n'arrêterai que devant l'océan
Devant l'océan infini
Cent fois plus grand que moi, cent fois plus grand que nous
Rien n'est plus réel que les reflets du sel
Argentés de perles qui brillent еt ruissellent sur ma peau
Jе sens, sens comme elle est belle
Là-bas la vie qui m'appelle et ouvre ses bras
Devant le vide et le ciel dans mon dos s'ouvrent mes ailes et je compte jusqu'à trois
Saute...
Saute...
Saute...
Saute...
Oh, moi quand je me perds, oui moi quand je me mens
Quand je ne suis plus sûre de comprendre mon propre cœur
Je vais me chercher ailleurs, la chute n'est que meilleure
Quand on prend goût à l'inconnu
Oui, j'ai choisi le bleu
Le bleu du ciel ou de l'océan
Quitte à errer à l'infini
Cent ans de solitude sans plus de certitude
Rien n'est plus réel, que faire danser mes ailes
De plus ou de perles qui brillent et ruissellent dans les aubes
Je sens, sens comme elle est belle
Là-bas la vie qui m'appelle et ouvre ses bras
Devant le vide et le ciel dans mon dos s'ouvrent mes ailes et je compte jusqu'à trois
Saute...
Saute...
Saute...
Saute...
Je sens, sens comme elle est belle
Là-bas la vie qui m'appelle et ouvre ses bras
Devant le vide et le ciel dans mon dos s'ouvrent mes ailes et je compte jusqu'à trois
Saute...
Saute...
Saute...
Saute...
Saute