Se plaire, à Florence
L'insouciance, les confidences
On s'dévore, on s'évapore
En douce
Tellement de chose à se dire encore...
En cadence, la candeur
De ton souffle, exalter la douceur
On s'mélange, on s'échange
Des mots d'août
Tellement de choses à se dire encore...
Tu m'aimeras
Le jour où tu parleras
La même langue que moi
Mais je ne t'en voudrai pas
S'il te faut du temps pour avouer
Que tu n'aimes que moi
Dans la même langue que moi
S'éprendre, à Florence
Dans les jardins, en silence
On s'enflamme puis l'on s'éteint
A l'idée, de penser, qu'on pourrait
Se perdre un matin
L'amertume, aux heures de brumes
Le chagrin, les soirs d'écumes
La détresse et l'ivresse
Le désordre
La douleur qu'on redoute
Et les doutes...
Tu m'aimeras
Le jour où tu parleras
La même langue que moi
Mais je ne t'en voudrai pas
S'il te faut du temps pour avouer
Que tu n'aimes que moi
Dans la même langue que moi
L'insouciance, les confidences
On s'dévore, on s'évapore
En douce
Tellement de chose à se dire encore...
En cadence, la candeur
De ton souffle, exalter la douceur
On s'mélange, on s'échange
Des mots d'août
Tellement de choses à se dire encore...
Tu m'aimeras
Le jour où tu parleras
La même langue que moi
Mais je ne t'en voudrai pas
S'il te faut du temps pour avouer
Que tu n'aimes que moi
Dans la même langue que moi
S'éprendre, à Florence
Dans les jardins, en silence
On s'enflamme puis l'on s'éteint
A l'idée, de penser, qu'on pourrait
Se perdre un matin
L'amertume, aux heures de brumes
Le chagrin, les soirs d'écumes
La détresse et l'ivresse
Le désordre
La douleur qu'on redoute
Et les doutes...
Tu m'aimeras
Le jour où tu parleras
La même langue que moi
Mais je ne t'en voudrai pas
S'il te faut du temps pour avouer
Que tu n'aimes que moi
Dans la même langue que moi